Je suis Beni, un peintre suisse qui essaie simplement de comprendre un peu mieux le monde en posant des couleurs quelque part.

Mon travail naît de ce qui nous entoure, une lumière qui passe, une ombre qui s’attarde, un morceau de rue qui raconte plus qu’il n’en a l’air. Je regarde, j’essaie de saisir, et parfois une toile en sort.

Sensible aux contrastes, à la manière dont la nature et la ville cohabitent, presque malgré elles. Les murs usés, les couleurs qui résistent, les signes qu’on croit deviner, tout cela finit par trouver sa place dans ce que je fais. Une coulure n’est qu’un mot qui glisse, une texture une phrase qui hésite. C’est un langage imparfait, mais j’espère suffisamment ouvert pour que chacun y trouve ce qu’il veut.

Créer, c’est partager un regard sans imposer le mien.

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DERNIÈRE TOILE

'Abîme'

Une tension douce entre chaos et ordre traverse la toile, où les signes fluos s’élèvent comme des pulsations vives.
Chaque symbole devient une respiration,
une pensée suspendue dans un mouvement qui déborde. On y lit l’éclat du désordre, la beauté du vertige et ce besoin instinctif de glisser hors des lignes.

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BRUT

Je ne cherche pas la beauté facile, ni la caresse des couleurs. Chaque tache, chaque griffure raconte ce que je suis à l’instant, rude, fragile, vivant.

Le brut, ce n’est pas la violence, c’est la vie, ce que tu vois est ce que tu ressens.

URBAIN

La ville parle, et moi je l’écoute, tags, murs fatigués, couleurs éraflées… chaque coin de rue raconte une histoire que je n’invente pas, je la vole un peu.

Ce que je peins, ce sont des fragments de vies anonymes, des poèmes laissés par hasard sur le bitume.

SENSIBLE

Sous le béton, il y a des cœurs qui battent.
Même dans le chaos, j’essaie de glisser un peu de douceur.

Parce que l’homme est fragile et que la peinture est peut-être le seul endroit où on peut le dire sans avoir peur.